Communication de crise et médias sociaux, ouvrage aux bonnes sources, structuré, mobilise et synthétise d’intéressantes et incontournables études, aborde avec pertinence le contexte des crises sur Internet, puis rentre dans les crises après la p. 62 (si vous voulez rapidement lire l’annonce du plan de l’ouvrage, RDV p. 3) pour reprendre les fondamentaux de la communication de crise, sans ultra spécialisation, donc en restant très lisible (cf. la veille, p. 68 sq.). La méthodologie proposée (107 sq.) fait la part belle à la stratégie, à la réflexion (ce qui nous va bien, chez Marketing Professionnel !), sans instrumentalisation (117).
L’auteur conclut sur trois impacts du rapport entre communication de crise et médias sociaux : de nouvelles opportunités (201), le retour de la relation client, l’apprentissage permanent.
Le marketeur regrettera le manque de « décollages » (cf. omission des trous structuraux de Burt p. 77 sq.) et les fautes d’orthographe des pages 19, 31 et 101. Il se demandera pourquoi Pierre Mercklé (Sociologie des réseaux sociaux, cité p. 43, ne figure pas dans la bibliographie.
Par ces trois interrogations, il répondra à la proposition de l’auteur en dernière page : « n’hésitez donc pas à me faire part de vos critiques, apports et retours d’expériences ! »
Ce que nous faisons bien volontiers 😉
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