Après la Baby Boom, la Génération Y (et bien d’autres !), voici la Génération P, comme participation.
L’auteur, après avoir passé en revue les différentes phases et les facteurs d’évolution de la sociéte de consommation, livre les clés de la dernière phase : la “sociéte de participation”, qui touche les entreprises, les technologies et les marchés.
La réflexion privilégie tout d’abord une approche historique, pour ensuite se livrer transversalement, en analysant des signaux parfois faibles, a partir de faits forcement d’actualité. Notons le soin particulier apporté au traitement de sources d’informations trés à jour.
Le lecteur presse regrettera le manque de lien a l’intérieur de certains développements, quelques digressions (sport p. 81 ; oeuvres d’art p. 84) et l’omission de l’articulation entre participation, partage, répartition par exemple.
Mais ce travers de Génération Participation va de pair avec un énorme avantage, celui de fourmiller d’idées et de nous inviter à réflechir sur notre environnement socio-économique, en ayant toujours présent à l’esprit la fort belle histoire-repoussoir de l’île de Pâques (p. 91).
Cette critique concerne la 1ere édition de l’ouvrage.
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