Après les élections régionales, prenons une bière pour… (à vous de compléter).
Ce visuel est extrait de Gilroy was good for Guinness (p. 168), livre en anglais reprenant l’histoire publicitaire de la marque lorsque son illustrateur était Gilroy.
Le marketeur et le communicant y découvriront d’intéressantes pages richement illustrées sur les déclinaisons internationales de Guinness is good for you, My Goodness, my Guinness, Guinness for strengh, le bestiaire de la marque, les pastiches de l’Oncle Sam (« Your country needs Guinness », non datée, p. 190)… et de et l’intraduisible jeu de mot « And do what Toucan do »…
Les fins linguistes souriront à quelques campagnes maladroitement traduites. Ainsi, « It’s arrived » donne « C’est arrivée », oui, avec un « e » final (1947, p. 191), tandis que « Opening time is Guinness time », avec un chevalier en armure un verre à la main (1957, p. 220) est traduit par « Le temps d’ouverture est le temps de Guinness » (p. 220) ou « Le temps du debut est temps pour Guinness » (sans accent sur le « e », p 221).
Acheter Gilroy Was Good for Guinness de David Hughes, chez Liberties.