Ces paradoxes de la relation client dans un monde digital, vous les lirez jusqu’à la page 54, puis après la page 237.
Notre intérêt va à l’introduction, faisant le point sur le consommateur digital ; l’évolution du web (jusqu’à p. 29) ; le paradoxe entre personne et persona (31 sq.), relevé pour sa part par Jarvis dans Tout nu sur le web.
Les développements placés entre les paradoxes n’apprendront pas grand’chose aux marketeurs « avancés » maîtrisant les technologies NFC, les concept stores, la réalité augmentée…, à l’exception du chapitre consacré à l’organisation (205 sq).
Cet ouvrage trop sourcé Bearing Point (sans atteindre les abysses de la plaquette auto promotionnelle d’un autre auteur), oublie la bibliographie générale et l’index… Les illustrations en « mode consultant » (192…), pertinentes cependant, aèrent l’ouvrage à côté de visuels d’accompagnement, basiques et parfois tartes, qui n’apportent rien. Enfin, les recettes proposées dans une trentaine de chapitres manquent de liant mais attisent l’appétit.
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