Un an sans Internet tome II est l’aimable critique roborative et introspective dans laquelle Ced, un jeune Geek « poor lonesome Numericow-boy », subit l’intenable épreuve de la privation d’Internet pendant un an suite à une qualité de service déplorable de Numericable.
Va-t-il tenir, confronté à la mollesse et à la vacuité de l’opérateur, malgré les rebonds multiples de centres d’appels en boutiques, et de lettres recommandées en coup de (sans fil) incendiaires ?
Une BD tranche de vie avec des vrais moments de vérité en pépite dedans, revigorante, délirante et en phase avec le consommateur vengeur.
« Allo, le service client ? » « Allo, quoi ! »
Le personnage confronté à un service client inexistant subit les affres de l’ennui (32, 45), des hallucinations (101-105), de la paranoïa (79-83)… et même des pulsions les plus perverses (129-131). Car Ced est l’archétype du client Numericable : il faut que ça fonctionne sinon il entre en furie. Et de finir, philosophe « Heureusement que Numericable ne me fournit pas le gaz et l’électricité, sinon j’aurais mangé froid pendant 12 mois ». Une expérience de lecture inoubliable (dans la BD) ; une expérience client à oublier au plus vite (par les enchaînés à Numericable).
Et vous, auriez-vous tenu un an sans Internet ?
Acheter Un an sans internet journal d’une expérience, Tome II, de CED, aux Editions Makaka
Clins d’œil aux végétariens
Merci d’avoir lu jusqu’au bout ce deuxième canular du 1er avril 2015.
Lire notre critique du vrai (et du seul) Un an sans Internet, ouvrage de CED, que nous saluons amicalement au passage, espérant raviver le désir de nos lecteurs d’acheter cette BD si tendrement croquée.
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