Le Bon Côté des Choses est un comparateur de prix de listes de courses qui permet au consommateur d’économiser jusqu’à 1500€ par an sur ses courses. Au contact de l’intention d’achat déclarée par le consommateur, ce service permet aux professionnels de la grande consommation d’être en prise directe avec les attentes exprimées par leurs clients. Précisions avec Thierry Ferrandiz, PDG, dirigeant fondateur du Bon Côté des Choses.


Un comparateur de prix de listes de courses fournit une assistance shopping au consommateur… et apporte énormément aux points de vente traditionnels.
Le consommateur est-il en attente d’une assistance shopping ?
Dans l’environnement bien établi du commerce électronique, les comparateur de prix ont mis l’accent sur les achats impulsifs et/ou ponctuels (électronique grand public, produits blancs…).
Or, un ménage français consacre chaque année ~6000€ à son budget de consommation courante.
LeBCC a donc décidé de se positionner sur l’optimisation des achats récurrents, les produits alimentaires et le DPH, et de proposer une optimisation économique sur une approche très qualitative et comportementale, et des critères ultra-personnalisés.
Il s’agit ainsi d’accompagner ces consommateurs qui souhaitent responsabiliser leurs décisions d’achats.
61% utilisent Internet pour faire des recherches pour leurs seules courses alimentaires.
Les modes de consommation se transforment irrémédiablement avec l’utilisation par les consommateurs de leur smartphone en magasins, face aux linéaires ; pour obtenir plus d’informations nutritionnelles sur un produit, en vérifier le bon positionnement prix, savoir ce qu’il s’en dit sur les réseaux sociaux, se renseigner sur l’e-réputation d’une marque…
11% des français ont de plus réalisé leurs courses en passant commandes sur un drive.
33% segmentent leurs achats entre plusieurs commerçants.
75% déclarent vouloir recourir à un assistant shopping une à quatre fois par mois dans le but premier de décider quel(s) magasin(s) choisir.
Qu’apportez-vous aux points de vente traditionnels ?
La taxe écofolio du dispositif TGAP (Taxe Générale sur Activités Polluantes) a augmenté de 23% en 2013, passant de 39 à 48€ par tonne de papier imprimée.
Seuls 5% des bons de réductions émis chaque année sont utilisés par les consommateurs.
Nous proposons à cela une alternative dématérialisée, sans papier, avec un modèle de rémunération uniquement à la performance. Les consommateurs en pleine déclaration de leurs intentions d’achats ont accès à des promotions ciblées, individualisées, sur la base de leurs besoins déclarés dans leurs listes de courses.
De plus, dans le cadre de leur stratégie omni canal, les enseignes traditionnelles proposent toutes aujourd’hui à leurs consommateurs la possibilité de passer commande en ligne.
Nous proposons à toutes les enseignes online et offline le référencement gratuit de leurs catalogues permanent (fonds de rayons) et promotionnels.
Leurs offres sont ainsi intégrées par l’algorithme de calcul exclusif du Social Shopping List Optimizer, le S²LO.
Des paniers d’achats multi-produits sont ainsi transmis aux marchands moyennant une commission d’apporteur d’affaires selon un modèle d’affiliation.
Au contact du besoin originel émis par les consommateurs, nous travaillons également à la mise en place d’indicateurs de tendances sur les évolutions des modes de consommation.
Il s’agit par exemple de donner de la visibilité sur la demande prévisionnelle future au-delà des impacts d’un aléa d’approvisionnement, d’une opération marketing, d’une cannibalisation de gammes ou encore d’une phase du cycle de vie d’un produit.
(c) Ill. : Shopping – Shutterstock
Un article de notre dossier Point de vente 2.0 : distribution et digital


Claude Nahon
8 mars 2013 à 15:19
Une belle innovation dont tout le monde sort gagnant. D’une part, les distributeurs se voient dotés d’un nouveau moyen de générer du trafic en point de vente ainsi que d’évaluer les besoins des consommateurs et leurs évolutions. D’autre part, les consommateurs se voient offrir une assistance shopping, dont ils sont très demandeurs, pour optimiser leurs dépenses de consommation courante. Dans ce domaine, les enseignes ne doivent cependant pas tout attendre de l’extérieur et s’y investir personnellement.
Claude Nahon,
Mood Media Corporation, Président Europe
Thierry Ferrandiz
21 mars 2013 à 11:41
@claude,
Merci pour ce retour enthousiaste,
Ce sera un plaisir de pouvoir en parler lors d’une prochaine rencontre.
Bien à vous,
TF